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La route des corps

10 octobre 2009

Rez de chaussée

Aujourd'hui, c'est Mr S qui est venu.
Difficile de se voir, ayant désormais une vie plus traditionnelle, avec un compagnon.
Pas facile de ne pas céder à ses pulsions. Me refuser du plaisir m'offusque.
J'ai profité d'une brèche, pour le recevoir après des semaines sans avoir touché un autre.

Je suis la seule résidente de mon immeuble de 3 étages, mon propriétaire attend que je déménage, les 2 autres appartements sont vides depuis le printemps. Je l'ai donc attendu au 1er étage assise au soleil devant la porte fenêtre ouverte. J'ai les clés de tous les appartements.
La dernière fois que Mr. S est venu, nous avons mené nos ébats dans cet appartement du 1er; sur le parquet. Un peu rude et pour le coup, un peu rapide...

Nous avons échangé quelques SMS très clairs et un peu piquants avant de nous retrouver. J'ai respecté sa proposition et j'ai retiré mon string avant son arrivée.
Je l'ai entendu, avant qu'il sonne. Le son de sa moto est puissant, reconnaissable et me fait de l'effet. J'avais préparé sa venue et ouvert la porte fenêtre donnant sur la courette et recouvert le vieux canapé qui est resté avec un paréo.
Il sonne, il est en retard de 15 minutes. Je viens le chercher en bas, je lui ouvre la porte.
Je suis devenue très sensible à sa tenue de motard. Ce blouson seyant près du corps, son corps mince et bien taillé, ça me...
Il est souriant, comme toujours d'ailleurs. Nous sommes contents de nous voir. "ça fait longtemps" me dit il. Et oui, la donne a changé, mes disponibilités sont rares.
On s'embrasse. J'aime ce goût qu'il a.
Aucune gène à embrasser 2 hommes sur la même période. La relation n'est pas la même, les enjeux diffèrent. Ce n'est pas le même tableau, deux cases différentes, je me sens à l'aise dans les deux rôles.
Toujours il me caresse les seins; il les aime je crois. C'est presque la première chose qu'il fait lorsque l'on se revoit, comme si c'était la preuve que nous étions bien ensemble à cet instant.

Je l'invite à me suivre dans l'appartement du rez de chaussée. Il est surpris mais je pense que c'est plus raisonnable de le recevoir en dehors des murs où je vis.

Il est coutumier de mes originalités, faire l'amour dans un autre appartement c'est la seconde fois avec lui, sans compter celle où j'ai commencé nos ébats dans l'escalier de mon immeuble. On se connait depuis quelques années maintenant... des libertés se prennent au fil du temps et de la confiance que l'on s'accorde.

Il me suit, retire son équipement de motard... me passent les mains dans les cheveux, m'embrassent toujours fougueusement... j'aime bien. Je lui pétris les fesses; fouillent ses cheveux trop courts... Il glisse ses mains sous ma jupe, vient me caresser les fesses. Son idée, je l'ai réalisé, il sourit de plaisir... et  s'empresse de me déshabiller. Il me retire mon gilet, je lui retire son pull en coton. Il n'a jamais rien en dessous.  Dans la foulée mon haut est retiré et il dégraphe mon soutien gorge.

Il plonge son visage sur mes seins lourds et vient me les picorer, ses mains s'affairent. J'ai très envie de gouter son corps. Je prends son visage dans mes mains pour venir plaquer mes lèvres sur les siennes. Une fois rassasiée, je fais courir ma langue le long de son cou, je parcoure ses tétons, les rends érectibles et je me délecte de son ventre chaud, ondulant, rempli de désir. Mes mains n'avaient pas tardé à se diriger vers l'objet de ma convoitise. Sentir ce corps indépendant s'enfler sous mes doigts générait une montée supplémentaire de l'envie de le prendre en bouche.

Je n'étais plus vêtue que de mes bas résille et de mes bottes hautes. Je me suis agenouillée devant sa forme saillante, fière. Approcher ma bouche d'un sexe en érection me donne toujours la sensation d'être bien à ma place. Et le retrouver après une longue période d'absence fut un vrai plaisir, le retour d'une gourmandise. J'ai pris le temps de le faire rouler sous ma langue, de le sentir palpiter sous mes lèvres. La tension montait. Mr S. est toujours aussi enthousiaste et fougueux et désirait rapidement passer à la suite. On a fait quelques mètres en jouant de nos langues pour s'installer sur un vieux canapé sorti d'Emmaüs, toujours présent dans le salon vide de l'appartement.

Il me fait m'allonger, le dos appuyé sur un bras de canapé, les fesses proches du bord pour venir me gamahucher avec précision sur le clitoris et me doigter peu à peu, augmentant l'intensité de ses aller/venues me faisant gémir de plaisir. M'entendre l'excite et c'est bien ce pourquoi nous sommes là. Je le bascule pour venir à  califourchon sur lui. Les premières pénétrations resteront à jamais un délice inexplicable.Mais la position est inconfortable. Je m'allonge sur le dos, il prend mes jambes autour de lui et me pénètre avec force et entrain. Je sens ma chatte se délecter de plaisir de ce chibre qui la prend. SOn visage est toujours illuminé, ses assauts se font force et puissance.

Nous changeons souvent de positions pour reprendre le souflle, pour atténuer son excitation que l'on puisse durer plus encore. Lui présenter ma cambrure et tous mes orifices ont un fort pouvoir, me prendre en levrette est un pur exitant malximal pour lui... Après quelques échanges, il se retire de lui même pour ne pas exploser. A nouveau je m'allonge jambes pliées, écartées, en alternance ses doigts, sa langue s'affaire sur mon antre. Mon corps se tend de plaisir... Ses doigts lubrifiés de ma cyprine, viennent se faire joueurs autour de mon petit trou. Mr S se fait de plus en plus audacieux depuis que je le connais. Sa fougue si elle me plait pour nos jeux fougueux, je ne le laisse pas encore bénficier de cette autre possibilité. Pas encore.

J'ai étiré mes jambes au dessus de ses épaules; après avoir retiré mes bottes... il m'a pris par les chevilles pour me prendre vigoureusement... le rythme s'emballait, nos voix se mélaient. Il m'a fait glisser sur le coté, passer une jambe sous lui, l'autre entre ses mains devenant un gouvernail ses hanches au creux des miennes. Mon clitoris bénéficiant des frottements de son pubis, mon plaisir n'en était que plus intense... Ses pénétrations profondes et chaudes, mon excitation coulait entre nous. Haletant, le plaisir s'intensifiait et la jouissance l'a emporté, le tout dans son préservatif.

Quel plaisir ces ébats, sanspression, sans attente toujours réussis par leur enthousiasme et ce petit piquant d'une vie parallèle.

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24 février 2009

Les progrès

23 II 2009

02h18, à chaud.
La porte de mon appartement vient de se refermer derrière lui.
Je suis au chaud sous ma couette, appuyée sur le côté, pour pouvoir écrire.
Mr M. est de retour.
Nous ne nous rappelons plus la dernière fois que nous nous sommes vus. Mais on s'est retrouvé comme on s'est quitté la fois précédente: chaleureusement sans effusion.
J'étais en pyjama, devant une émission sur ARTE sur Kingston, je l'attendais.
Un peu plus tôt dans la soirée, je reçois un message
23h53: Tu es rentrée?
23h54: Tu as envie de dormir seule?
23h57: Je viens si tu veux.
Je lui explique que ce serait avec plaisir mais que j'ajoute que je n'ai plus de chambre. Mes deux colocs ayant la priorité fonctionnelle des chambres du haut.

Mr M. 24 ans, très séduisant, visage fin, yeux sombres, pommettes roses (j'adore), cheveux épais avec un beau mouvement qui ne frise pas encore de n'être pas assez long; corps finement musclé (qu'il travaille pour le trouver plus beau, plus "massif"), peau exceptionnellement douce, brune (un délice).
Un vit de très belle longueur, un gland légèrement vrillé bien proportionné, capable de recul, il peut s'observer. Il se retire dès qu'il se sent venir pour faire durer le plaisir.
De petites valseuses, impossible de savoir si elles sont sensibles ou pas. Ne dis pas un mot pendant nos ébats et je dois tendre l'oreille pour écouter ses souffles.
Le jeune homme se concentre sur ses sensations, ferme les yeux, je peux le contempler à sassiété dans ses ressentis.

Il se déshabille, pose ses vêtements sur l'accoudoir plat du fauteuil en cuir, et vient s'allonger détendu à coté de moi, sur le dos, les coudes derrière la nuque.
il retire son t shirt.
Il me montre ses muscles, trouve qu'il a pris en masse de ses cuisses de ses abdos, du dos. (moi je ne sais plus depuis le temps que je ne l'ai vu!). Il me parle de massage (c'est comme un rituel qui l'arrange bien), je prends de l'huile prodigieuse et je m'exécute.
Il retire son boxer et s'allonge sur le ventre en diagonale du canapé.
Son corps est un régal pour les yeux, il est chaud  (le mien aussi), son extension l'est aussi, mais avant, j'aime à malaxer, pétrir, humer le dos,les bras, les fesses, diffusant, par la friction alchimique, le doux fumet de l'huile. Mes mains caressent fermement, parcourent la peau... Un petit rouleau d'épiderme courre entre mes doigts, des reins jusqu'à la nuque... de part et d'autre de la colonne vertébrale puis le plat de mes mains fait des cercles sur toute la surface qui est à ma disposition.
Il s'abandonne à moi, j'en profite, je tache de ne rien oublier.
Une fois qu'il sent tout son corps réchauffé de mes pétrissages et autres caresses, il se retourne verge en cours de tension dans mon champs de vision. Mes mains accompagnent sa rotation et je me positionne face à lui, mes cuisses enserrent les siennes.
Je viens caresser la peau, l'effleurer du bout des doigts, tout autour de ses organes reproducteurs, sans les toucher. Il joue de ses muscles et fait faire à son sexe de petits bonds.
Il est "à point", alors je viens doucement poser ma langue sur la chaleur du pli de son gland et j'en fais le tour. Toujours agenouillée dans l'axe de ses jambes, je me mets à le sucer délicatement pendant que mes mains s'accrochent à son corps pour y exercer de petites pression.
Il fait venir mon séant plus près de sa main droite afin de me tatouiller l'entrée du vagin, de son doigt mouillé (comme moi!). D'un autre doigt, t il cherche mon étoile, pour la mettre en condition. Je crois biuen qu'il voudrait bien jouer à la sodomie.
Ca lui avait plus lorsque je l'avais emmené en sous bois, avec la lumière filtrant au travers des branches, caressant les corps, et l'ambiance, l'excitation du milieu naturel, avait permis la sodomie.
C'était même bien bon. Pourtant je ne suis pas coutumière et souvent, si ça ne me fait pas mal, ça ne me fait rien.
Il faut vraiment que Pluton soit dans Saturne et que la Lune soit montante....sinon ça ne marche pas!!!

Il me laisse alors l'enfourcher... c'est l'une de mes positions préférées. surtout quand le vit est fait pour moi, qu'il est en accord parfait avec mon antre... je peux y aller de ma cadence... Un régal pour moi (ce qui est loin de lui déplaire il me semble).
J''aime les mouvements que nous avons, le rythme est le mien... c'est bon!
Mais le jeune homme aime le changement... il manque de patience (hélas pour moi!)
Et on change (dommage)
A  quatre, pattes, il vient plaquer son bas ventre contre mes fesses... je sens son sexe qui me pénètre. Ces moments restent indicibles et d'un délice extraordinaire. Il profite de son recul probablement pour se regarder faire (je n'en sais rien, je ne vois pas et dans le salon il n'y a pas de miroir). J'en profite pour plus ou moins cambrer mon arrière train et profiter du meilleur angle pour mes sensations.
De nouveau nous changeons de posture, et il vient se mettre sur le coté, moi aussi, en cuiller mais mon corps fait une perpendiculaire avec le mien.
Ce que je remarque dans mes échanges sexuels avec lui c'est que mon corps chauffe pas mal et de surcroît que je suis vite lubrifiée voire même glissante. Si embrasser le dérange, la sueur partagée ne lui procure aucun dégoût... et moi, j'adore ça!
Cette position me permet aussi de voir son sexe rentrer dans le mien, de participer au mouvements de nos corps mélés. Il a aussi accès à mes seins et mes cheveux, que j'aime à ce que l'on les tire un peu. De son autre main, à un moment, il a enserré mon cou, à peine serré et je dois dire que j'ai aimé ça.

Comme jamais rien ne dure, c'est à son imagination des postures que nous allons avoir à faire...
Il vient s'adosser contre le mur, jambes repliés et pieds à plat sur le matelas. Je viens me glisser contre lui, en présentant mon dos et mes fesses pour venir m'empaler sur son phallus toujours aussi vigoureux en passant mes pieds et mes mollets sous le pont de ses jambes.
Et c'est parti pour un pénétration en va et vient (est il possible qu'une pénétration ne soit pas en va et vient d'ailleurs?) plus ou moins profonde dont je gère par mes mouvements l'intensité.
Mais Mr M. est loin d'être inactif, c'est sa vocation d'ailleurs de faire travailler ses muscles et il donne lui aussi ses coups de reins.
L'enmêlage des corps est plaisant mais c'est drôlement physique. Et n'étant pas championne de gymnastique ni grande sportive, je dois bien dire que je me fatigue... d'ailleurs ça me fait rire.
Pour autant tout n'est pas fini... et l'on change une fois de plus, pour une amazone où je peux prendre mon temps... je me délecte de nouveau de mes ressentis. Et c'est plaisant de voir le visage de l'autre, se crisper, s'étirer, voir les sourires naître aux commissures des lèvres... le plaisir en action!
J'ondule, je me couche ma bouche près de son cou, je ne peux m'empêcher de goûter cette peau de faire des sillons du bout de la langue. Mon souffle se saccade peu à peu...
Ma cadence, mon rythme, nos chaleurs... humm, ce que c'est bon, je voudrais que ça dure encore et encore....
Son sexe, de ces enchaînements qui ont pris plus d'une heure, est au bord de l'explosion.
D'un coup, il se redresse, se mes à genou devant moi, mon visage devant sa superbe tension.
Il n'y a qu'une solution.
Je le finis à la bouche. J'aspire avec passion son gland pendant que ça main masturbe sa longueur avec la bonne tension (après tout ce sexe est à lui, il le connaît bien). Je sens les saccades de sa liqueur remplir ma bouche... Je continue de le sucer encore de plus en plus doucement, jusqu'à ce que ma bouche quitte son sexe.
La bouche pleine, je file expier au lavabo de la salle de bain, la capote nouée à la main (oui même si son final vient d'arriver, il en a quand même fait couler dedans au fil de nos ébats...)
Je reviens au salon, il est allongé sur le dos, en biais. Il récupère la main jouant avec son sexe qui retrouve peu à peu son repos.
Je m'allonge à coté de lui, on discute un peu.Il s'interroge sur ses performances et me dit: "alors j'ai fait des progrès?"
Comme ça fait longtemps qu'on s'est vu, il a pratiqué bien sur. Il a besoin d'être rassuré.
Sa question me fait sourire et je lui dis qu'il est vrai que la spécialité avec lui c'est l'originalité des positions et son contrôle pour ne pas éjaculer qui fait des ébats de longue haleine!
Je ne sais pas si ma réponse le satisfait mais c'est ce que j'ai dit.

Puis on sent l'air sur nos peaux sensibles. Je vais aux toilettes (les femmes doivent toujours aller aux toilettes après l'amour, c'est quasi obligatoire), quand je reviens il s'habille. Il n'y a pas de portes au salon et je vis avec 2 hommes en colocation. Mr M. a toujours et depuis le début voulu se faire plus que discret, à la différence de  Mr S. qui est bien plus sur de lui, pour un âge équivalent. Ce ne sont pas les mêmes personnalités.

La porte se referme. J'éteins les lumière, je me mets sous ma couette réchauffé par nos corps, je sens mes mains. Elles sentent encore lui, moi, nous.
Je m'endors facilement, pour une bonne nuit.

18 février 2009

Le retour de l'ébène

16 II 2009

Nouvelle semaine qui débute, et cette fois, en cette matinée quelque peu grise, ce n'est pas en train mais en BARCHETTA que je prends la route pour Valence.
Voici la petite histoire.
Il y a Mr L. internaute comme les autres, avec qui j'ai des discussions depuis bien longtemps, plus d'un an c'est sur. Nous échaffaudions sans arrêt des scénarii pour nous rencontrer. Car cette rencontre ne pouvait exister dans une banalité commune.
Ce qui fait que nous ne nous sommes... jamais rencontrés!
Sauf ce matin. La semaine précédente il m'informait qu'il devait se rendre à Valence pour la journée du lundi et se proposait de m'emmener.
Finalement, la voilà la rencontre originale.
Il me dit avec humour de venir avec une culotte de rechange... des fois que. Le temps est compté en réalité.
Alors à 7h 15 je descends avec ma valise, la Barchetta grise est là.
Diantre que c'est petit et favorise la proximité.
Je m'installe sans manteau bien sur. Qu'ai je donc mis ce matin là?
Ah oui, un bermuda ajusté en laine noire, des bottines et un haut normal (normal pour moi en tout cas).
Le trajet s'est fait de bla bla très sympathiques souvent tendancieux...mais nous sommes adultes!
Le trajet s'est fait à vive allure et je fus déposée toute fraîche devant mon établissement.
Oh non, aucune main balladeuse, ni geste à caractère sexuel, ce n'était pas le moment et je connais sa situation affective.
Respect.

Un début de journée fort agréable.
Alors quand je suis rentrée à mon appartement à 16h et que Mr N. m'a annoncée son arrivée imminente, cela m'allait très bien.

On connait Mr N. désormais.
Toujours d'abord, se toucher, les fesses (pour moi), les seins (pour lui). Il aime à caresser la peau des endroits dénudés, sorte de mise en éveil des capteurs sensitifs.
Pour s'enlacer, faire monter l'envie.
Me sucer les seins...parcourir la peau de l'autre du bout des doigts. Soulever un t shirt, venir caresser de la langue les tétons...
Effeuiller les vêtements... parcourir à petits pas maladroits la distance à faire jusqu'à la chambre... venir s'échouer jusqu'à ce petit lit une place à montants métalliques ronds et bleus.
Restent les quelques sous vêtements du bas...
Son slip en strecht suinte déjà de liquide séminale...
Mon envie s'accroît plus encore, je m'agenouille sur le lit, face à lui, debout le sexe qui coule et fait une auréole.
Je fais glisser son slip en bas de ses pieds et enfin la chair à nue je peux me mettre en action.
J'aime ces sexes emplis de désir de sexe, qui savent m'accueillir de leur mieux en se laissant faire. Ces peaux détendues et vibrantes au moindre contact et dessous les muscles en tension.
Quand les mains viennent se méler aux cheveux pour les réunir et permettre ainsi au sucé de voir en plus de ressentir ce qui est fait.
J'aime avoir les cheveux saisis sentir une tension surtout quand elle est à point nommé.
Mr N. aime se faire gamahucher par une femme, se faire palper en même temps. Mais ce qu'il aime beaucoup en plus d'avoir du plaisir et d'en recevoir, c'est d'en donner.
L'alternance est comme une danse, sauf quand comme moi, incapable de me laisser aller, je me mets en décadence et le rire est mon replis.
Pour autant, il ne se démonte pas et ajoute son rire au mien pour passer à la suite.
Je m'adosse alors comme je le peux au bout du lit, entassant le duvet, la polaire pour être bien. Mr N. se retrouve en é temps 3 mouvements entre mes jambes.
C'est un homme heureux lorsqu'il peut porter son regard et son odorat face à un sexe de femme offert et désirant de ses agissements.
Son visage radieux vient alors non sans avoir au préalable passer un doigt à sa bouche puis à mon sexe ouvert, lui même déjà lubrifié de toutes nos petites folies enthousiasmantes précédentes.
Cela le ravit et sa bouche sa langue arrive jusqu'à moi avec un entrain véritable et il lèche avec passion partout où il le peut faisant glisser, coulisser sa langue jusqu'à l'entrée douce entrée haut lieu de délice.
Très à l'écoute, des souffles et autres gémissements, sa patience et son goût pour cette pratique font qu'il ne peut concevoir de repartir sans avoir fait jouir sa partenaire.
Même si le temps nous était compté, ce n'était pas encore le moment pour moi.
Alors à mon tour je l'ai fait basculer à l'autre bout du lit (toujours petit le lit) et je conviens qu'il était à mon tour d'agir pour son bien.
Toujours aussi expressif, ses indications sont pour moi une bénédiction car je ne peux alors que le mener à la jouissance.
Je me suis allongée entre ses jambes pour un nouveau face à face avec son sexe toujours aussi appétissant, et content de me retrouver.
Ma langue courant de son aine à son scrotum, de son nombril à son gland de sa cuisse à ses valseuses... mes mains pétrissants, palpants toutes les zones alentours, encouragée par se propos
Jamais on ne m'a dit aussi souvent aussi fortement " Ce que j'aime comme tu me suces, comme tu me suces bien c'est fou".
C'est super exitant et puis aussi hyper flatteur, il faut bien le dire.
Qu'il est bon aussi d'avoir comme partenaire un homme jouisseur.
"Déesse du sexe" dit il. (Alors je pense à toi mon ami, qui m'appelle "Prêtresse du sexe" sans jamais avoir été en contact avec moi.)
SEs encouragements puissants et clair, en plus de ma suçion m'a fait lui humidifier sa zone obscure le plus possible et de venir jouer d'abord avec ma langue et chatouiller, détendre la zone, le faire frissonner.
Les gémissements quand ils arrivent à l'oreille donnent envie de poursuivre de mener encore un peu la danse et de voir à quel rythme on peut mener la partenaire.
De ma main je coulissais sur le sexe de ma langue je caressais l'étoile.
De glissement en écoute je changeais les mouvements.
Ma main pris le chemin du séant, et comme rien ne vient entraver le plaisir de Mr N. il n'y a pas de postures indécentes et il donne tous les accès possibles pour plus de plaisir.
Mon index vient prendre le relais de ma langue, et ma bouche celui de ma main...
J'écoutais ses intensités, expérimentants les rythmes dans le but de le mener au grand plaisir.
De mon mouvement de doigt glissé dans son anus, faisant des mouvements circulaires, additionné à celui de ma bouche sur son sexe son plaisir s'intensifia de plus en plus...
Ses paroles fleuries, claires me donnaient du plaisir à lui en procurer... Sentir son corps se contracter, sous mon doigt dans ma bouche, sous ma main...
Quelle cadence!
Je suivais ses indications ses souflles, ses râles, ses expressions de plus en plus fortes de plaisir.
Associer la fellation au doigter des zones innervés de l'anus... aucun homme n'a joui aussi fort de mes actions sur lui.
Mon plaisir n'était pas aussi grand que le sien mais il était réel.
J'étais ravie de lui avoir apporté cette intensité, il pouvait alors partir, le temps imparti arrivait à son terme.
C'est mal le connaitre.

Il m'a renversé me disant que je n'avais pas de raison de me satisfaire de son plaisir et que je méritais grandement le mieux.
Il a refourré son museau amoureux du genre féminin entre mes cuisses pour se donner la possibilité de me mener au plaisir... ce qu'il fit.
Notre timing était bouclé, le plaisir partagé.

Mardi fut une journée scolaire, le mercredi matin aussi.
Le déjeuner de mercredi midi devait me mener vers une nouvelle expérience.

Mr B. rencontré 15 jours auparavant sous la forme d'une ballade nocturne dans Orléans jusqu'aux quais, revenait manger chez moi. 
Manger ce que je pouvais faire, étant donné mes équipements culinaires.
Il est arrivé à 13h passé avec des fleurs, pour mon anniversaire et une boite dans laquelle il y avait des gateaux.
Les fleurs je les ai emmené dans ma salle d'arts plastiques où elles sont encore.
Les gateaux on les a mangé... mais pas à la suite du déjeuner.
Lorsque j'ai porté les assiettes à l'évier il s'est levé, pour s'approcher de moi, pour poser sa main sur ma joue, caresser ma gorge pour ensuite venir enfourner sa langue dans ma bouche.
Sa langue est puissante... dominatrice et... aspiratrice.
Bouhhh que c'est désagréable, ça surprend.
En tant que femme, on reste policée et on tente d'esquiver autant que possible.
Nous ne sommes pas compatibles de la langue, c'est tout!.
Ses mains me parcouraient les vêtements, dont il s'est débarrassé, n'avoir pas accès à ma poitrine l'agaçait.
Il s'est saisi d'un sein pour le porter à sa bouche. Là dessus j'ai rien à dire, je laisse faire, j'aime ça.
Il change de jumeau... alterne, me plaque contre le mur... je profite.
Il me fait avancer à reculons vers la chambre... l'homme ne lâche pas sa proie.

Il est grand, mince, finement sculpté, noir. cela faisait plus de 10 ans que je n'avais pas eu l'occasion de passer du temps avec l'Afrique. Mes souvenirs étaient bons (parce qu'ils sont lointains?), il sont mes premiers partenaires sexuels. Mon souvenir le plus présent étant l'usage des doigts de mon partenaire sénégalais de l'époque. Ces premiers attouchements de mon antre par d'autres mains que les miennes m'avaient littéralement ravie! d'une douceur, d'une sensualité extraordinaire. Premiers émois. Bref!
Il a 28 ans presque 29, son crâne est rasé comme une bonne partie de son corps. Il est brillant de sa peau noire et de ses dents qui contrastent... c'est beau comme vision je trouve. Son engin est toujours à la hauteur de l'Afrique, gigantesquement long... tellement que bander droit n'est pas possible. Cela dit avec sa belle courbe de jet d'eau vers le bas, ça reste rigide comme du "bois bandé". Sa queue pique un peu sur la hampe. Se passer la lame partout, ça donne du piquant, forcément.

Tout semble ne pouvoir commencer que par une fellation. J'ai pour sentiment que les hommes ne commencent pas les hostilités et aiment jouir de leur passivité avant d'avoir la nécessité de pénétrer... pour leur plaisir avant tout!
Les ébats ont duré, de verticalité en bête à deux dos. Nos peaux contrastes, se marient bien et peu à peu la pénombre de la journée qui prend fin attenuent ce contraste... son corps se font dans la pénombre pendant que le mien devient plus visible.
Sa préférence, la levrette.  J'aime à faire plaisir alors je m'y prête mais mon plaisir s'il y est n'est pas intense.
Je persiste à dire que c'est pas pour moi ça... sauf parfois... de la méthode, de la lenteur..J'aime pas trop cette profondeur, ça me fait mal.
Faut varier.

Pour autant la révélation vint de lui.
Adossé au mur sur le lit... je viens me glisser entre ses cuisses et apporter ma moiteur tropicale buccal à son braquemard. Ma langue s'égare sur les valseuses, l'aine,le scrotum...  Il est en totale découverte de ces effets.
Alors, par curiosité, je fais remonter l'extrémité de ma langue le long de son nombril pour parvenir jusqu'à ses tétons.
Contourner doucement, venir effleurer du bout de l'index, passer de l'humidité, détourer encore... faire tournoyer la paume à fleur de tétons... Revenir avec la langue, plus appuyer pendant qu'un doigt chatouille l'autre. Faire vibrer le téton du bout de la langue, approcher ses dents mordiller tout doucement, les mains parcourant le corps, rien ne doit être laissé au hasard.
De ses souffles, de son étonnement j'en retire un grand plaisir.
Son corps vivre, de plaisir de surprise, je ne m'en lasse pas.
Son plaisir s'intensifie, et s'il n'était pas Homme, j'aurai peut être pu le faire jouir de ces gestes  accompagnée (certes) d'une branlette.
Mais l'homme sait il se laisser aller à la découverte totale de nouveau plaisir, de se laisser manipuler entre les mains d'une femme jusqu'au basculement en dehors de la fellation?

De son bouleversement, je le laisse récupérer mais je n'ai pas l'intention d'en rester là.
Et de ses attouchements à mon sexe, je  n'avais pas été satisfaite. Je me suis mise en tête de lui montrer.
Comme il est toujours adossé au lit... je viens me caler contre lui. Il n'y a pas de raison.
Mr B. a le bras long et je lui explique que je vais me servir de lui, je le mérite.
Je lui ai pris sa main droite pour lui diriger vers mon sexe et sa main gauche pour la poser sur mon sein gauche.
Je suis sensible des seins, j'aime que l'on s'en occupe que l'on accentue leur sensibilité par leur manipulation.
Je le laisse me masturber comme il pense savoir bien le faire. Ca ne me va pas. Il me martyrise le clitoris.
Je lui explique ma sensibilité, comment faire pour me donner du plaisir.
Mon goût de la lenteur... les caresses qui doivent prendre plus de puissance en intensifiant la pression.
Les caresses doivent se faire de haut en bas dans une moiteur indispensable sur ma petite excroissance du plaisir.
Il manque de synchronisation mais les mouvements de mon bassin, mes courbures de reins l'aide quelque peu...
Je fais le nécessaire pour pouvoir me mener avec son aide, à ma jouissance, sans me servir de mes mains sauf pour m'agripper à ses avant bras.
Enfin je jouis.
Que ça fait du bien!

La journée prend fin. J'ai rendez vous avec mes amis pour le dîner du mercredi soir. Je l'accompagne à la porte du bas, elle est toujours fermée à clef. J'ai droit à un bisou. Et hop, le retour au quotidien peu reprendre.
Mr B. est ma dernière expérience sexuelle, avant mon week end parisien de Saint Valentin avec mes amies pour mon anniversaire. Je viens d'avoir 34 ans!
La semaine qui a suivit fut intense en travail, dernier coup de fouet avec les vacances scolaires.
Petite ascèse sans forcer... Le sexe est comme un boomerang, même si parfois ça m'agace, je sais que ça reviendra sous peu lorsque l'occasion va se créer.

12 février 2009

un, deux ,trois

12 II 2009


Voilà, comment la semaine précédente se déroula.
comme une suite d'évènements où bien peu de choses étaient dûes au hasard.

Le lundi, je devais rencontrer Mr N. pour la première fois en fin de journée,nos disponibilités étaient alors communes.
j'étais à mon appartement orléanais entre 10h et 14h15, du temps pour défaire mes affaires.
Mr N. c'est retrouvé disponible de manière impromptue sur ces mêmes horaires.
Il m'a alors joint dans l'espoir de pouvoir me rencontrer plus tôt et aussi je passer plus de temps avec moi.
Il est venu rapidement.
Je l'avais vu à l'image de la web cam, satisfaisant son désir exhibitionniste et assouvissant le mien comme matteuse.
Je savais à qui j'avais à faire, morphologiquement. L'homme est de taille moyenne, cheveux clairs, rides du trentenaire, visage souriant, physique de sportif, marié 2 enfants: 35 ans.
Sûrement séduisant (j'aime pas son style vestimentaire), lui comme pour moi, attiré plus par le potentiel sexuel que par nos goûts esthétiques.

C'est un homme gourmand, véritablement passionné, plus encore que mon Maître.
son plaisir c'est le mien, ce qui lui a fait donner encore et encore de sa personne pour m'offrir la possibilité, non seulement d'avoir du plaisir mais de jouir.
autant te dire que c'est un immense régal pour moi d'avoir, un homme à la hauteur de ma complexité.

J'ai été caressée, léchée, pompée, suçotée, picorée, re léchée à tel point que son visage brillait de nos humidités mélangées, c'est un plaisir à voir.
Il se sert de tout, ses doigts, ses lèvres, sa langue...de quoi faire varier mes ressentis dans un panel des plus intéressants.
Dois je préciser qu'il ne fut pas en reste de mes services passionnées?
Les ébats, gourmandises à tour de rôle, partagées (diantre, j'ai découvert la variante du 69 qui me permet d'être confortablement installée, que mon partenaire ne le soit pas trop mal non plus, lorsque l'on se couche sur le côté), et autres pénétrations ont duré pas loin de 2h.
Excellente entrée en matière pour une première rencontre.

Le mardi, j'ai passé le concours... Emotion pas du tout sexuelle mais un bon petit stress de défi que de passer les épreuves... à voir pour les résultat.

Le mercredi il est revenu, pour une nouvelle séance, de 13h à 17h... déjeuner compris.
L'expressivité a dépassé la séance précédente... et je dois dire que sa gourmandise ne s'était pas tarie, oh que non.
Mes seins l'ont fait chaviré et il en a rêvé jusqu'à ce qu'il revienne ce jour.
quelle plaisir pour moi que les limites soient loin loin... et de pouvoir faire courir mes pesanteurs sur le corps de cet homme comme bon me le semblait.
et quel douceur que de pouvoir venir me mettre entre ses jambes et devenir celle par qui les mouvements de va et vient arrivent.... Enserrer une verge entre mes globes,  confronter nos douceurs, j'aime tellement ça.
Mes ébats avec lui sont sans retenues, joyeux, entreprenants et très équitables.

A chaque homme la spécificité d'un sexe, sa forme, sa longueur sa vigueur...
Le sien est certes court (je n'ai pas dit petit) trapue (un ravissement à le sentir me pénétrer), plus large sur la partie centrale, un beau gland qui coule facilement, courbe comme une banane, orienté vers le ciel.
Tout peut s'adapter et je ne suis pas sans surprise avec les positions qui correspondent à sa morphologie.

Le soir, je suis tombée de sommeil à 21h30.
Tant d'égard pour mon sexe, je n'ai jamais eu la tête d'un homme aussi longtemps entre mes jambes. Et le fait qu'il refuse de partir tant que je n'ai pas joui démontre un respect inégalable et rarement égalé envers mon plaisir.
Cet homme par nos jeux échangés m'épuisent. Mais c'est une sorte de petit bonheur personnel (je sais que c'est possible maintenant)
Ce qui est aussi très plaisant c'est qu'il est sonore et n'hésite pas à parler de son plaisir. Il hurle que c'est bon et qu'il aime comme je le suce. Alors forcément... je m'applique.
Mon sexe me paraissait en feu de tant de frottements et je me disais que je me reposerais (sexuellement) jeudi soir.

Jeudi soir, je suis rentrée à Lyon et dans le train qui me ramenait, Mr S. m'a envoyé un SMS " A quel heure tu reviens de Valence? Je peux peut être passer te voir dans la soirée ;) Bisou"
Comment lui refuser? C'est mon chouchou. Je me shoote à son odeur, elle me rassure, lui mon si jeune amant, là depuis longtemps maintenant.
Il est venu dans la soirée. Il revenait du sport, j'étais en pyjama (il aime quand je suis en pyjama... sourire).

Il est celui que j'embrasse avec presque passion. Il est celui avec qui ma langue est la plus compatible avec la sienne, dont le goût est pour moi comme un petit bonbon.
Il est musclé mais son corps, lié à son jeune âge est assez mince, chaud, peau douce et claire, ses cheveux chatains sont courts (trop courts), ses yeux sont vert teintés de marron et rieurs. il n'est pas grand et ses mains sont celles d'un ouvrier, 24 ans.
Ses mains s'emmèlent dans mes cheveux... il est toujours pressé que je défasse sa ceinture. Il  ne porte jamais de t shirt sous ses pulls. Et toujours je me mets à genoux devant lui, pour lui donner le ton et prendre son sexe en bouche et le faire frissonner. son sexe est mince, assez long, un  gland peu charnu mais son enthousiasme est réel.
Mr S. depuis le temps a fait des progrès et il sait se contenir, me dire lorsqu'il faut ralentir pour que le plaisir dure encore.
Il devient inventif, toujours enthousiaste, il est celui que j'ai pu amener à découvrir des plaisirs liés à son corps, terrain d'expérience et de découvertes pour nous deux.
du coup,  immanquablement, il désire que ma langue courre le long de son vit, pour parcourir ses valseuses et descendre plus encore dans les tropiques d'une humidité plus sombre.
Il aime à me regarder nue (je me demande bien pourquoi) de me sourire... de se jeter sur moi pour me dévorer les seins.
Il me fait sans cesse changer de position et aime à s'entendre souffler, rugir... c'est vrai que c'est bon.
Il a des idées, qu'il voudrait expérimenter; filmer nos ébats par exemple et les regarder. Tout comme il m'a demander de l'appeler plus souvent pour qu'il vienne faire l'amour (je lui ai promis d'accéder à cette requête, car l'année dernière il l'avait déjà demandé... il mérite.).
Je ne jouis pas avec Mr S, il est vrai qu'il ne s'en donne pas la peine mais j'aime sa présence, être contre lui.
après l'amour, nous nous enlaçons, déployants nos chaleurs, diffusants notre calme, souriants... on s'assoupit, il me "gratte" les cheveux. Puis au bout d'un moment plus ou moins long, variable si on s'endort ou pas, il rentre chez lui.

Je trouve chez lui la douce tendresse qu'il me manque dans ces corps à corps expérimentaux, curieux, parfois très très sexuels, limite professionnels.

Alors promis, vendredi je me repose.
Mon sexe n'en peut plus (du moins je le crois). Je suis allée nager le midi, fait des courses l'après midi. Le soir s'annonçait calme, tranquille chez moi, ordi sur les genoux.
Le bas de pyjama avait pris la place de mon jean, et mes orteils se réjouissaient dans des chaussons bien chauds.
C'était sans compter sur Mr E.

Mr.E s'est connecté sur MSN et c'est enquerri de moi. Soirée bien tranquille dis je...
Je l'avais rencontré la semaine précédente, moment sympathique de discussion, intéressant. Depuis il revendiquait de peut être, lui même, accéder au statut de "chouchou" aux vues de son âge: 25 ans. Nous n'avions lors de notre rencontre cédés à aucune pulsion ni désir.
Il m'a donc fait ressortir sous l'argument (je n'étais pas dupe) de regarder TRACKS en buvant une tisane.
22h, j'enfile de nouveau mon jean pour délaisser mon bas de pyjama et je sors affronter le froid de la nuit.
Je marchais rapidement. Ressortir était un effort.
J'arrivais dans sa chambre d'étudiant, dans un foyer de jeune travailleur.
Le jeune homme est passionné de musique, batteur dans un groupe de SKA, il joue aussi de la guitare (ahhh quel plan drague le joueur de gratte sèche), il est surveillant éducateur remplaçant en lycée.

Il est très très grand et très très mince, les os larges.
Look rock, il porte des converse en toile même l'hiver, des jeans très droits limite slim et des sweats à capuche (à sa taille). Il est brun, frisé, yeux noisette, il a une bouche superbe.
Cette bouche s'explique lorsqu'il m'a dit qu'il était moitié africain par son papa.
Ah?
Bah ça alors...
Il est métissé, blanc plutot... mais qu'importe... cette bouche charnue, souple et moelleuse... J'ADORE.

Nous avons passé presque 3 h à discuter, écouter de la musique, à 1h du mat', je dis que je tire ma révérence et c'est là qu'il agit....
Il s'approche pour me dire au revoir, toute empaquetée dans mon manteau et mon écharpe et il m'embrasse.
Et cette bouche, ahhhhhh, elle me rend gourmande.
Alors, je me laisse faire.
C'est si bon de se faire picorer de la salive... c'est si bon de se faire désirer quand l'autre a les petits détails qui font que c'est possible.
Lui non plus n'est pas mon type...mais sexuellement il l'est.
Son corps est véritablement immense et pour mon plaisir il peut me faire plusieurs choses en même temps...en ayant de l'aisance dans ses mouvements, sans être en extension.
Lui aussi a pas mal consommé mon intimité... et un plaisir toujours cela est.
Et qu'il ose autant à son age... n'en a été que meilleur. Depuis très très longtemps... je n'avais pas eu autant de plaisir à me faire doigter l'anus comme il l'a fait... Je n'en suis pas revenue. C'était délicieusement bon!
Je pense l'avoir servi lui aussi comme il se doit. Nos gourmandises mélées ont fait que nous avons passé la nuit à faire l'amour... quelques pauses enlacées, une fois, deux fois, trois fois...
Le jeune homme est caressant et mon corps en est friand de ces doigts à peine perceptibles qui parcourent le corps, qui effleurent les reins, le creux de la cuisse et qui me font frissonner et jamais je ne l'en lasse.

Ce qui est étonnant avec lui c'est les postures qu'il prend pour me pénétrer... De son corps gigantesque, de son sexe qui l'est tout autant et de mon vagin qui est bien trop court fait qu'il a un recul incroyable.
Il peut se regarder agir sans aucun problème et il maitrise très bien la cadence de ses coups, et ne me fait donc pas mal. Il est un bon partenaire.
Tout ceci à duré jusqu'à 7h du matin... où au final je me suis assoupie une petite heure. Je me suis redressée, décidée à rentrer chez moi. J'ai traversé une partie de la ville, la musique sur les oreilles, bien au chaud dans mon manteau, mon bonnet,ma grosse écharpe. Il est 8h30, un samedi, il y a des gens déjà dans la rue, ils vont ouvrir les magasins j'imagine.

Il neige.

Ma semaine s'en est arrêtée là, pour ce domaine... quelques 48h sans pratique n'était pas sans inutilité.

La semaine suivante a repris dès le lundi avec Mr N et j'ai enchainé mercredi sur de la nouveauté, avec Mr B, mais c'est pour une prochaine histoire.

2 février 2009

La table

2 II 2009

Samedi, je discutais en début d'après midi, sur Adopte avec un viennois (vivant à Vienne, tout comme Lyon, aux pieds du Rhone, ) en disant que je devrais travailler mais que pour autant je n'en avais pas envie. Pas préparé pour pas préparé, autant y aller tranquillement à ce concours lui disais-je.
Et puis je lui écris: Si tu veux, je t'invite au ciné cet après midi et aussi un gouter.
En gros, il me dit: Chiche!
Bingo.
A 17h, je le retrouve sur un parking, pour aller le chercher vu qu'il n'était pas au bon endroit.
Séparé, célibataire, père de deux garçons, il roule en 806, normal.
C'est un homme svelte (il pratique le triathlon), élégant, le cheveu (doux je le sus plus tard) mi long, teint bronzé, bel homme.
Chaleureux, après cette heure trente de route qu'il a fait pour venir sur un coup de tête, il me dit qu'il mérite un bisou.
Le ton est donné, il m'entraine dans un french kiss qui en dit long sur la suite.
Pas de cinéma donc, d'autant plus qu'il doit être de retour à Vienne pour un diner à 20h30.

Je l'emmène donc chez moi, on échange des paroles, la communication est facile, l'état d'esprit est le même.
Nous entrons en contact rapidement,par des caresses, des baisers, les doigts qui se parcourent mutuellement, les vêtements peu à peu s'effeuillent.
Son sexe est rapidement à point et la tension est déjà belle de navoir pas encore mis ni mes mains ni ma bouche.
Il se délecte de mes seins les triturent, ça me fait directement gémir.
Bien sur, je ne peux m'empêcher de le sucer, de faire connaissance avec son deuxième Moi.
Il s'assoit, je m'affaire, je me délecte, l'engin est très beau, puissant, ferme, conséquent.
Mes seins viennent le prendre en "serre livres", et ma langue juste titiller son gland en passant...
Les premières gourmandises cèdent au déplacement.
Nous abandonons la cuisine pour nous rendre au salon et prendre appui sur le canapé.
Equitable, il me fait prendre position sur le bord et venir gouter le miel de mon antre.
(Je pense qu'il n'apprécie pas mon goût et en tout état de cause je ne peux lui en vouloir, puisqu'il n'y a pas remis le nez, mais à plusieurs reprises dans ces heures passés ensemble, il a bien sur, mouillé ses doigts et les a infiltré dans ma chatte, pour mon plaisir)

Nous avons batifolé longuement, en changeant les postures... un peu de levrette par ci (l'engin est de bonne taille et lui permet un délectable recul et de repasser autant qu'il voulait à l'entrée de mon vagin.), en grenouille tous les deux, un peu d'équilibre...
C'était bien, je n'ai pas joui, c'est habituel.
Mais sa vigueur, sa compréhension de mon plaisir à me faire titiller, lécher, mordiller les seins m'a donné bien des plaisirs.
Nous avons soufflé, bu de l'eau et je suis allée enfiler mon peignoir de satin, nue dessous avec les seins qui entrebaillaient les pans.
Nous avons bu un thé, mangé des biscuits, il s'était rhabillé, on a bien discuté, de la perception de la vie à deux, de la perception enthousiasmante que nous avions en commun à propos du célibat, des plaisirs encore et encore...
De cet pause aurait pu découler son départ, c'eut été honnête.
Mais il   n'en fut pas ainsi, j'étais encore à table lorsqu'il vint se poster derrière moi et venir glisser ses mains sous mon kimono et venir se saisir de mes seins, de prendre en pince mes tétons et de les faire rouler...
Hmmmm ce que j'aime ces sensations et que j'aime en gémir...
Je pivotais légèrement pour avoir de nouveau accès à son vit pendant que son doigt entrait dans ma chatte comme dans une motte de beurre. Rapidement son sexe fut dans ma bouche,je ne saurai m'en empêcher.
J'aime ces moments très sexe et de sa nature et sa maturité, s'il sait me donner du plaisir en jouant avec la limite de la douleur avec mes tétons, il tire aussi les cheveux, ta prend la tête entre les mains pour bien te faire sucer, j'ai pris aussi quelques claques type fessée.
J'adore ça.
La levrette contre le mur c'est muée en une question... où voulais je qu'il me prenne... et là j'ai enfin pu dire "sur la table".
Figures toi, que de ma carrière j'ai jamais eu l'occasion et pourtant j'en ai révé.
Et voilà qu'il me l'a fait c'était absolument exquis...
Long, je m'en suis délectée.
Mais il ne fut pas en reste...
il a pris ma place sur la table, mis ses pieds sur des chaises et je me suis occupée de lui à le faire gicler...

Une bonne après midi de samedi.
Le soir je suis allée à la séance de 22h voir Slumdog Millionnaire. J'ai bien apprécié.

Je te raconte plus tard, mes séances avec un homme valençais marié.
On a commencé lundi (le soir j'étais KO), il revient demain.

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25 juillet 2008

la pierre plate

Après une belle matinée d'automne à ramasser des champignons en forêt de Fontainebleau , Justine et ses amis cherchaient un endroit pour casser la croute.
Le meilleur endroit, un peu en hauteur, se trouvait parsemé ça et là de rochers épars plus ou moins hauts. Habituellement, ce sont les grimpeurs qui en profitent, mais là ils étaient seuls. Comme si 5 personnes pouvaient être seules...

Il s'installèrent tout près d'une pierre bien plate qui faisant penser à une table. Ils y déposèrent leurs victuailles et apprécièrent ce pic-nic comme il se doit, en bavardant et riant!
Une fois ce repas achevé, le temps agréable, la digestion se voulait un peu passive et appelait au plaisir d'un petit repos.
Chacun pris appui en se calant comme il pouvait.
Justine trouva une place confortable le long de la grande pierre plate. Tout près d'elle, son ami intime. Les trois autres n'étaient pas loin et les yeux fermés profitaient un peu de ce repos agréable en cette fin de saison.

L'un contre l'autre... la douceur de la chaleur humaine les faisaient se lover l'un contre l'autre... Ils se parlaient à voix basse, de gentils mots.  L'environnement dans lequel ils se trouvaient, ce paysage forestier, ces rochers sur un promontoire qui les faisait dominer le site... cet appel de la nature...
Les propos se firent alors plus coquins et les gestes plus orientés.

Justine en douceur repoussait un peu les gestes de son compagnon. Les amis alentours, un peu de gène la saisit. Justine est une femme qui aime la vie, qui s'enthousiasme de la moindre chose. Le présent est son mode de fonctionnement, elle est également généreuse... même si elle n'aime pas s'imposer.

Il eut alors un idée de lui susurrer à l'oreille un petit scénario pour l'attendrir, générer en elle un petit désir qui pourrait s'attiser au fil du texte.
Il commença alors à lui raconter à l'oreille, qu'elle aurait pu être une déesse, que le site serait un endroit quasi magique, comme on en trouve en Amérique Latine... et que ce serait la pleine lune.
Ce soir si spécifique où le soir de la pleine lune, la déesse est honorée par 4 hommes, les meilleurs, les plus méritants pour espérer une bonne récolte.
Si la déesse avait bien été baisée, les productions seraient abondantes...
Il agrémentait ses propos en posant ses mains sur elle.
Il connaissait ses zones sensibles.
Le corps de Justine est réactif de partout... le moindre souffle, la moindre caresse la fait vibrer. Et ses plaisirs là, elle ne sait s'en passer.
Il passe sa main le long de sa taille...fait courir ses doigts sur cette peau alerte... Le souffle de ses propos caresse son oreille et parfois il s'approche plus encore, entre deux phrases pour venir faire glisser l'extrémité de sa langue autour de son oreille, de son cou.
Justine a chaud. Le repas, le soleil d'été indien, cette douce étreinte... elle retire son gilet. Son t-shirt est ajusté et la pointe de ses seins est déjà tendue.

L'histoire a son oreille se fait de plus en plus précise et le contact avec son partenaire de plus ne plus enveloppant. Elle respire cette air forestier qui l'ennivre tout autant que ses propos à lui. Son corps chauffe, son désir s'amplifie. Ces histoires lui tournent la tête, elle a du mal à ne pas se laisser aller, à ne pas saisir son corps, passer sa main sous son pull sentir sa peau chaude...
Elle lui chuchote à l'oreille qu'elle n'en peut plus de se retenir.... que son corps réclame, que ce n'est pas le moment...
ll lui dit que justement, c'est maintenant que c'est possible, ce fantasme, qu'il est réalisable. Elle, d'être la déesse, lui et leurs amis des étalons prolifiques.
Elle rougit... "quand même tu ne penses pas que..?"
Il la rassure... ses amis sont de confiance et surtout, près à rendre service et lui faire plaisir à elle... et seraient ravis de l'aider à réaliser cette envie.

De toute façon Justine est transportée par ses hormones en ébullition, elle se laisse faire.
Il retire tout ce qui fait obstacle sur la pierre pour avoir toute la place.
Il la porte sur cette pierre table, comme un autel, il l'assoit sur le bord, passe ses mains sous son t-shirt, et vient faire rouler ses doigts au travers de son soutien gorge... Son buste se tend... l'intérieur de son corps est chaud... il lui retire ses chaussures, ses chaussettes...
Autour d'eux, les 4 amis semblent sortir de leur torpeur, la sieste prend fin au petits sons émis par Justine... Chacun regarde en leur direction, ils ne disent mot mais consentent...

En bons mateurs, ces images bucoliques leurs firent de l'effet... chacun restait à sa place, le cerveau en phase  le reste aussi et patientaient.
Pendant ce temps là, sa bouche venait se frottait contre les tétons libérés de leur entrave de Justine... Il les suçait avec avidité... Les mains de Justine se mélait aux cheveux de son compagnon l'étreignant fort contre ses seins...
Elle contenait ses soupirs, son souffle mais cela lui était de plus en plus pénible.
D'un geste de la main, il fit venir l'un des trois amis jusqu'à eux.
son sexe sous son jean était déjà tendu. Justine ne l'a pas vu arriver, prise, les yeux fermés dans ses sensations.
Il su ce qu'il avait à faire sans mot dire... et vint se placer sur le côté, lui caresser le sein, libre de la bouche du premier... et venir fouiller ses cheveux détachés, de son nez son souffle.
La surprise pour Justine ne fut pas longue car le plaisir déjà présent ne lui donnait pas la possibilité de se contrôler, ni de s'offusquer.
Quatre mains sur elle... son partenaire lui fit tomber le pantalon.
Les deux autres amis s'en mettaient plein les yeux de cet ambiance érotique qui s'amplifiait. Leurs mains s'affairaient dans leur jean ouvert. eux aussi attendait le signal pour venir prendre place.

Le cerveau de Justine s'abandonnait aux sensations que lui procuraient les deux hommes... leurs mains couraient sur son corps presque nu, la lumière du soleil en ce début de journée venait  recouvrir d'une douce intensité cette peau mise à nue.

Justine sur cet autel de pierre, les sens perdant peu à peu pied avec la raison... ces hommes au désir qui s'intensifiait. Les images dans sa  tête défilait. Cette déesse de la fertilité entourée d'hommes aux qualités physiques requises, à la puissance évidente, cette orgie nocturne aux milles mains et mille sexes incontrôlables...
Le contact avec cette pierre, le soleil aveuglant et ces mains sur elle, Justine est la déesse...
Son t-shirt lui fut retiré, son soutien gorge aussi,  le signal pour les deux hommes restant de s'approcher.
Dénudés, il vinrent s'ajouter aux deux autres... Justine était déjà dans un autre univers, celui du désir, du plaisir des sensations intenses...
Ces hommes étaient les bienvenus. Ils se répartirent autour d'elle, maintenant qu'ils étaient tous là. Tous rejoignèrent Justine allongée sur la grande pierre plate, chacun ayant un poste à tenir. Deux d'entre eux lui caressaient, aspiraient, titillaient les mamelons qui étaient désormais bien tendus d'excitation. Un troisième venait lui lécher son intimité repoussant son string sur le côté pendant que son partenaire profitait de la scène, la main faisant ses aller retour le long de son sexe dur.La voir, ainsi abandonnée à d'autres l'exciter avec une grande intensité.

Son souffle était court et elle se sentait à la fois désorientée par ces nouvelles sensations et pleinement excitée. L'intensité devenait très forte et son partenaire l'avait compris. Il lui murmura alors à l'oreille "Fais ce qui te passe par la tête, nous sommes là pour toi".

Justine, entourée de ces 4 hommes, tous nus, le sexe en érection les regards plein d'envies, les 8 mains recouvrant son corps eut un désir fou de servitude. Elle qui venait de se laisser peu à peu aller à l'abandon, en confiance voulait maintenant participer à cet élan collectif.
Elle se redressa et s'agenouilla. Elle saisit alors à pleine mains les deux sexe tendus devant elle. Elle les passa en alternance, avidement dans sa bouche, comme des sucettes douces. Sa gourmandise est grande.
Ses mains accompagnaient les mouvements de sa bouche, elle se délectait.
Le troisième homme, profitant du spectacle, caressant alternativement son sexe et le corps de Justine en laissant ses doigts s'égarer du coté de sa vulve. Lui retirant alors le string, il  en saisissait au passage la cyprine qui peu à peu se répandait le long de ses cuisses. Il se délectait de cette substance, la portant à sa bouche ou venait se recouvrir le gland avec.
Son partenaire n'en pouvant plus vint rejoindre le groupe pour se jeter sur le sexe de Justine, une envie intense de lui donner du plaisir l'avait saisi et cela lui donnait aussi l'occasion de délaisser son propre sexe. Regarder cette scène, l'esprit emporté par ce qu'il voyait, sa main avait déjà quasiment porté son sexe au point de non retour.
Il vint s'ébrouer dans ce sexe qu'il connaissait si bien pour en saisir du bout des dents son clitoris, le contourner plus ou moins rapidement de sa langue pendant que sa main, ses doigts venaient pénétrer ce sexe chaud, désirant. Justine, gémissait, se délectait, soupirait sans discrétion.
Ces sons ne faisaient qu'attiser le désir de ces 4 hommes. Mais ils se contenaient. C'était le fantasme de Justine, ses envies, ses désirs. Ils n'auraient pas trahi la confiance qu'on leurs accordait, pour rien au monde ils n'auraient voulu ne pas participer à cette partie exceptionnelle. Etre au bon endroit au bon moment, pour les désirs d'une femme.
Ils bandaient fortement mais disciplinés attendaient qu'on leurs demande la suite!

Au tour de Justine de trouver alors cet instant insoutenable.
Les cheveux ébouriffés, les lèvres ruisselantes de liquide séminal, le corps en tension absolu, les deux sexes entre les mains, elle se mit à réclamer fortement "Prenez moi! Prenez moi maintenant, baisez moi, je n'en peux plus".
Son partenaire se retira, le goût de Justine dans sa bouche, cette scène l'extasiait. il repris son sexe en main et donna le feu vert aux trois autres pour baiser Justine sans état d'âme.
Le premier s'allongea proche du bord la pierre, Justine... le regard vicieux, lubrique laissa libre court à ses envies. Elle désira être prise de partout.
Elle vint sur lui, de dos, enfiler dans son petit trou ce sexe tendu pour elle. En douceur, se dandinant pour apprécier cette première pénétration, elle fait disparaître la longueur en elle. Un fois le sexe bien enfilé, la mécanique bien huilée, le plaisir des zones érogènes stimulés, elle indiqua qu'elle était prête pour la suite.
Le deuxième vint s'installer devant la pierre pour prendre lui aussi Justine, mais par le vagin, pour compléter cette zone.
Justine gémissait déjà beaucoup, de la sodomie qu'elle gérait à son rythme, pour son plaisir...
Ce deuxième sexe empli de désir, le gland appuyé contre son vagin, générant une pression... Elle eut un moment  de perte des sens, ces sensations étaient si bonnes.
Elle sentit cette bite entrer en elle, presser l'autre sexe qu'elle sentait en même temps de l'autre coté de la paroi. Son plaisir était intense mais pas encore à son apogée.
Les deux hommes la limaient en cadence... générant des mouvement d'ondulation de son corps, ses seins ballotants, excitant plus encore le troisième homme qui lui pinçaient toujours les seins (péché mignon de Justine).
Haletante, elle le regarda et entre deux souffles courts lui intima l'ordre de venir lui baiser la bouche, pour la finir, pour la compléter.

Il vint se placer devant elle, devant sa bouche et la pénétra entièrement sans ménagement.
Les trois s'évertuèrent à suivre une seule et même cadence, la folie les prit. Les rythmes devinrent fous, son partenaire lui se masturbait frénétiquement... Tous gémissaient, donnaient un peu de la voix, plus ou moins près du paroxysme du plaisir... les aller retour intensifiaient les plaisirs de chacun...
Justine perdait complètement le sens de la réalité, le plaisir l'innondait elle sentait qu'elle allait jouir... Etre prise par toutes les ouvertures lui plaisait comme jamais, savoir son mec la regardait l'excitait plus encore.
La jouissance l'envahit comme une vague folle...le corps entièrement contracté d'un coup, ces bites partout en elles... elle relacha alors toute la tension dans un cri explosif qui fit un écho sur la forêt... Le corps de Justine ruisselant de transpiration et de plaisirs en elle.
Les trois alors se retirèrent, le plaisir ultime non atteint.
Il finirent de se masturber tous les quatre au dessus de son corps, ses mains caressants les jambes.
Ils éjaculèrent tous par saccade,  sur son corps, son visage, dans des râles de plaisir non contenus.
Justine ne pu s'empêcher de venir mettre ses mains dans ce chaud jus qui la recouvrait, pour le porter à sa bouche, telle une salope non assouvie... une petite chienne qui en redemandait, encore et encore...

Le temps leurs manquait, ils eurent que peu de temps pour récupérer et se vêtir de nouveau, reprendre leurs paniers et retourner aux voitures.
Le secret bien gardé, les sourires sur les visages, il repartirent vers leur quotidien, l'esprit  marqué par cette expérience unique.

Le résultat dépassait les espérances de son mec...Il voyait  Justine exaltée, enchantée... satisfaite.
Peut être d'autres expériences non calculées pourraient avoir de nouveau lieu...

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La route des corps
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